[Canseliet, E., Alchimie, Pauvert, 1964, p. 98]

1 – Il est utile d’ajouter que, dans la science hermétique, le bleu est assimilé au noir ; que le corbeau (corps beau), d’où vient le juron familier corbleu, qui symbolise la putréfaction, a le plumage d’un noir bleu. […] Le bleu sombre est la couleur du temps.

[Fulcanelli, Les demeures philosophales, t. 1, Pauvert, 1964, p. 110]

2 – Le grand corbeau, hiéroglyphe de la mort matérielle et de ses décompositions.

[Fulcanelli, Les demeures philosophales, t. 1, Pauvert, 1964, p. 321]

3 – Les Latins nommaient le corbeau ‘Phoebeius ales’ l’oiseau d’Apollon ou du Soleil Fo‹boj.

[Fulcanelli, Le Mystère des Cathédrales, Pauvert, 1964, p. 101]

4 – Qu’il nous soit permis de nous arrêter un instant sur l’hiéroglyphe du Corbeau, parce qu’il cache un point important de notre science. Il exprime, en effet, dans la cuisson du Rebis philosophal, la couleur noire, première apparence de la décomposition consécutive à la mixtion parfaite des matières de l’Œuf. C’est, au dire des Philosophes, la marque certaine du succès futur, le signe évident de l’exacte préparation du compost. Le Corbeau est, en quelque sorte, le sceau canonique de l’Œuvre, comme l’étoile est la signature du sujet initial.