BLAGUES (très) spirituelles

Merci Athanase,
Soyons valeureux nous aussi et cherchons l'issue au fatal destin

Oui, je me souviens aussi de cette histoire. Il y a eu aussi dernièrement en France, la vache Cornette, qui avait saccagé une partie de l'abattoir, réussissant finalement à sortir avant de mobiliser plusieurs gendarmes pour gérer la panique. Elle s'était réfugiée dans le parc des urgences d’un hôpital. Elle eut aussi la vie sauve grâce à quelqu’un qui la racheta.

On pourrait comparer la révolte de ces animaux, qui est aussi rare et incertaine au départ, avec la quête du sage ? A part que le sage lorsqu’il réussit peut aider ses semblables. Cette révolte et prise de conscience de la fin, ne semble pas faire l’unanimité chez les animaux… ni chez les hommes…

A la mort de Maxime, sa femme Cosette se rend dans les bureaux du journal local pour faire publier un entrefilet dans la rubrique nécro.

L'employé au comptoir lui présente ses condoléances et lui demande ce qu'elle aimerait dire sur feu son époux.

"Mettez seulement "Maxime est mort", dit Cosette.
"Vous êtes sûre?" répond l'employé perplexe. "Il n'y a rien d'autre que vous souhaiteriez dire de lui, après 60 ans de vie commune ? et les enfants que vous avez eus ensemble ? Et les petits-enfants ??? Si c'est l'argent qui vous inquiète, sachez que les six premiers mots sont gratuits."

"D'accord dit Cosette. Écrivez donc : "Maxime est mort. Bateau à vendre."".

Après maintes discutions sur la vie après la mort, Fred et Bob se mettent d'accord pour que le premier qui mourrait tâche de contacter l'autre et de lui donner quelques informations sur la réalité du ciel.

Fred est le premier à partir. Un an passe. Un jour le téléphone sonne et quand Bob répond, c'est Fred !
"C'est vraiment toi Fred?"
"Et comment Bob, c'est bien moi"
"Quel bonheur de t'entendre ! Je croyais que tu avais oublié. Alors dis-moi c'est comment là-haut ?"
"Eh bien tu n'en croiras pas tes oreilles Bob. C'est absolument merveilleux ! Nous avons les légumes les plus délicieux qui soient qui poussent à profusion dans les champs les plus fertiles que tu aies jamais vus. Tous les matins, après un bon somme sur place, nous avons un petit déjeuner du tonnerre, puis nous faisons l'amour le restant de la matinée. Après un bon déjeuner copieux, nous sortons des champs et nous faisons encore l'amour. Après c'est l'heure d'un souper fin, puis nous faisons encore un peu l'amour jusqu'à se mettre au lit.
"Seigneur! dit Bob, le ciel m'a tout l'air fabuleux!"
"Le ciel? dit Fred. Je suis un lapin en Arizona !"

Dieu apparaît à Adam et Ève dans le jardin d'Éden et leur annonce qu'il leur apporte des cadeaux et qu'il aimerait que chacun choisisse le sien. "Le premier cadeau est la capacité de pisser debout", précise-t-il.
Sans hésiter, Adam s'écrie:"Pisser debout? Nom d'une queue de bœuf ! Ça m'a l'air au petit poil ! Je veux celui-là."
"D'accord", dit Dieu, "il est pour toi, Adam. Ève, tu auras l'autre - des orgasmes multiples."

Voici les 4 affirmations qui prouvent que Jésus était juif:
- Il a habité chez sa mère jusqu'à 30 ans
- Il croyait que sa mère était vierge
- Sa mère le prenait pour un dieu
-Avec l'entreprise de charpentier de son père, il a fait une multinationale qui marche encore 2000 ans plus tard.

Un rabbin et un prêtre entrent en collision lors d'un accident de voiture. Les deux voitures sont complètement démolies mais, curieusement, aucun des deux hommes n'est blessé.
Après que chacun se soit extirpé de sa voiture, le rabbin voit la petite croix argentée sur le revers de la veste du prêtre et lui dit :
- Ah vous êtes prêtre. Je suis rabbin. Regardez nos voitures. Il n'en reste rien, mais nous ne sommes pas blessés. Ce doit être un signe du tout-puissant. Dieu a du vouloir que nous nous rencontrions, devenions amis et vivions en paix pour le reste de nos jours.
- Je suis entièrement d'accord avec vous. Ce doit être un signe de Dieu.
Le rabbin poursuit:
- Regardez. C'est encore un miracle. Ma voiture est en morceaux, mais cette excellente bouteille de vin d'Israël est intacte. Dieu veut certainement que nous buvions ce vin et célébrions notre bonne chance.
Il ouvre la bouteille et la tend au prêtre. Le prêtre est d'accord et en boit quelques grosses gorgées (l'émotion, la chaleur), puis rend la bouteille au rabbin. Le rabbin prend la bouteille, la rebouche puis la rend au prêtre.
Le prêtre demande :
- Vous n'en buvez pas ?.
Le rabbin répond :
- Non... Je crois que je vais attendre la police.