SLOSMAN Albert,Le grand cataclysme. En ces temps-là, vivaient Isis et Osiris.
Réf.: 5505
Le grand cataclysme. En ces temps-là, vivaient Isis et Osiris.
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Description du produit
Le grand cataclysme. En ces temps-là, vivaient Isis et Osiris.
Robert Laffont, Paris, 1976.
coll.: 'les portes de l'étrange',
In-4°,317 pp., ill. de photos et figs.
Br., bon état (marque d'app., qqs rares annotations marginales au crayon et stylo-bille et index de quelques thèmes notés sur la p. d'achevé d'imprimer, feuillet additionnel intercallé p. 44, couv. lég. défr.).
Le Grand Cataclysme est la narration de l'histoire des Ancêtres des premiers Pér-Ahâ (devenu Pharaon en phonétique grecque) hiéroglyphes qui signifient « Descendants-de-l'Aîné ». Ahâ pourrait se dire en phonétique française «Adam », et de fait, les Annales chronologiques gravées sur les murs des premiers temples de Haute-Egypte, ou peintes sur les rouleaux de cuir des diverses salles des archives des « Maisons-de-Vie », racontent la vie d'un peuple en partant de cet « Aîné.. » : l'Ahâ. Leur continent s'appelait Ahâ-Men-Ptah (devenu Atlantide par la grâce de Platon), et dont la traduction est « Dieu-y-coucha-son Aîné ». C'est toute l'histoire du monothéisme de ce continent d'Ahâ-Men-Ptah que détaille Le Grand Cataclysme, car en plusieurs millénaires, le peuple « Descendant-de-l'Ainé » perdit de vue son origine et se prit lui-même pour Dieu. Ce qui s'acheva par l'engloutissement du continent édénique à la suite d'un terrible bouleversement géologique, il y a 12 000 ans, et sur lequel les récits ne manquent pas. Les rescapés se chargèrent d'en instituer la crainte.
Robert Laffont, Paris, 1976.
coll.: 'les portes de l'étrange',
In-4°,317 pp., ill. de photos et figs.
Br., bon état (marque d'app., qqs rares annotations marginales au crayon et stylo-bille et index de quelques thèmes notés sur la p. d'achevé d'imprimer, feuillet additionnel intercallé p. 44, couv. lég. défr.).
Le Grand Cataclysme est la narration de l'histoire des Ancêtres des premiers Pér-Ahâ (devenu Pharaon en phonétique grecque) hiéroglyphes qui signifient « Descendants-de-l'Aîné ». Ahâ pourrait se dire en phonétique française «Adam », et de fait, les Annales chronologiques gravées sur les murs des premiers temples de Haute-Egypte, ou peintes sur les rouleaux de cuir des diverses salles des archives des « Maisons-de-Vie », racontent la vie d'un peuple en partant de cet « Aîné.. » : l'Ahâ. Leur continent s'appelait Ahâ-Men-Ptah (devenu Atlantide par la grâce de Platon), et dont la traduction est « Dieu-y-coucha-son Aîné ». C'est toute l'histoire du monothéisme de ce continent d'Ahâ-Men-Ptah que détaille Le Grand Cataclysme, car en plusieurs millénaires, le peuple « Descendant-de-l'Ainé » perdit de vue son origine et se prit lui-même pour Dieu. Ce qui s'acheva par l'engloutissement du continent édénique à la suite d'un terrible bouleversement géologique, il y a 12 000 ans, et sur lequel les récits ne manquent pas. Les rescapés se chargèrent d'en instituer la crainte.